dimanche 27 mai 2012

Journée Bacchus


Les caves du domaine Patriarche

27 mai, il fait 23°C et c’est ensoleillé. Terminé l’apéro! La visite initialement prévue s’avéra finalement être un tour complet de la seconde usine de Veuve Ambal fabricant le crémant de Bourgogne, produit protégé par une I.G.P. Loïc Riboteau mît donc ses grands talents d’orateur à contribution. Expliquant au passage les quatre niveaux de qualité des vins français, le charismatique bourguignon pu nous instruire sur les critères d’appellation du crémant de Bourgogne ainsi que sur son procédé de fabrication. Nous apprîmes donc que le crémant subissait une fermentation initiale naturelle en cuve extérieure suivie d’une seconde fermentation (durant 12 mois minimum) par injection de levures lors de l’embouteillage. Suite à cette visite, cap vers le McDonald’s France le plus près pour déguster le fameux McBaguette. Ou êtes-vous plus du type McNuggets, Filet McFish ou Royal Bacon? Le tout en best of (trio), bien évidemment! Après ce repas gastronomique, nous nous dirigeâmes vers la ville de Beaune pour visiter la cave à vin Patriarche, vieille de plus de 200 ans. Faisant près de 5 km souterrains, elle se situe sous l’ancien couvent des Visitandines abandonné lors de la Révolution française. Valant près de 80 millions d’Euros, le site nous surprit par l’obscurité profonde des lieux, l’humidité proéminente ainsi que la quantité impressionnante de bouteilles s’y trouvant. Cette visite se conclut par une dégustation de nombreux vins de Bourgogne dont un Grand Cru vieux de 42 ans (Musigny Grand Cru). Une visite du centre-ville de Beaune nous permit de conclure la journée, malgré un fractionnement du groupe juste avant le départ. Une fois les brebis égarées rapatriées, il était déjà temps de rentrer au lycée pour concocter un magnifique repas par le comité bouffe du jour. 

Lundi, départ à 8:30 afin de visiter une abbaye et un château.  


François Gagnon et David Élie

Dégustation de crémant de Bourgogne Veuve Ambal

Ligne de lavage et d'étiquetage des «filles» chez Veuve Ambal

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